Né le 9 février 1855 à Paris ; célibataire ; ciseleur. Garde, pendant le 1er Siège et sous la Commune, au 180e bataillon, il fut blessé le 4 mai au fort d’Issy. Son père, qui appartenait au même bataillon, fut tué en combattant. Condamné, le 19 février 1872, par le 3e conseil de guerre, à cinq ans de prison, Quérioux obtint la remise du reste de sa peine le 21 décembre 1872, avec dispense de la surveillance, la privation des droits civiques étant maintenue.
SOURCE : Arch. Nat., BB 24/777.